Trop souvent, on entend dans les médias des personnes, pas forcément habilitées, s’exprimer à propos de notre belle religion. Pour la stigmatiser, ils mettent en avant un argument selon lequel les droits des femmes seraient bafoués dans la charia. Quant à nous, on maintient notre version qui date de plus de 1400 ans : l’islam honore la femme.
L’islam honore la femme contrairement à ce qu’on entend
Les croyantes jouent un rôle essentiel dans la société musulmane. De jeunes femmes entreprenantes à maman en passant par le statut d’épouse, elles endossent de nombreuses responsabilités durant leur vie. Le Coran et la Sounnah évoquent les femmes pour de nombreuses raisons. Il existe d’ailleurs une sourate du Coran appelée « An-Nisa' », ou « femmes » en arabe.
Dans les sociétés occidentales, certains s’improvisent donneurs de leçons. Ils revendiquent le fait de se porter garant des droits des femmes. Pourtant, dans les pratiques courantes, on observe plutôt un asservissement de la femme. En effet, ils contribuent à faire de la gent féminine un objet de désir tandis que l’islam honore la femme. Comment ? En préservant sa pudeur et ses intérêts.
L’islam honore la femme dans tous les domaines
Les femmes ont acquis le droit de vote que tardivement en Occident. Leur participation à la vie active remonte également à quelques décennies. Par contre, les musulmanes prennent part au fonctionnement de la société musulmane depuis l’avènement de l’islam. Mieux encore, elles ont toujours eu l’opportunité d’entreprendre. D’ailleurs, la première épouse du prophète, à savoir Khadîdja bint Khuwaylid, faisait partie des commerçants les plus aguerris de la Mecque.
La science combat les idées reçues
Pour mettre un terme aux fausses idées reçues, il convient d’étudier la science légiférée. Nous encourageons également les non-musulmans à s’instruire et à lire la parole d’Allah. Ainsi, ils pourront témoigner d’eux même de la bienveillance dont doit faire preuve le croyant à l’égard des femmes de son entourage. L’islam honore la femme et ce, malgré les critiques essuyées par la Oumma.
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